Ludwig De Winter vers plus de libertés
Crédit photo Martine Lainé
L'effectif de WB-Veranclassic-Aqua Protect a été dévoilé jeudi dernier à la presse, dans les bureaux de Veranclassic à Dottignies. Parmi les 19 coureurs retenus, dix étaient déjà présents l'an passé. Parmi eux : Ludwig De Winter, qui entamera sa troisième saison dans la structure de Christophe Brandt. "Mon passage chez les pros aurait été plus difficile sans l'existence du projet Wallonie-Bruxelles", admet le dixième de la Coupe Sels à DirectVelo.
UN NOUVEAU CAP A FRANCHIR
Ludwig De Winter a, selon ses dires, "découvert le cyclisme chez Color Code", en 2013. Il y a beaucoup appris en matière de récupération et d'alimentation. Deux ans plus tard, il rejoint la formation Wallonie-Bruxelles, avec de forts souvenirs de sa première course chez les pros. "J'ai pris l'échappée au Samyn. C'était un bon moment", se rémémorre-t-il. Le coureur de 23 ans connait ainsi une progression linéaire dans sa carrière. "Ma progression a été constante durant mes deux dernières saisons. Je suis sorti de la campagne 2016 sur le constat assez réjouissant d'avoir été actif pour mes leaders et de passer un nouveau cap avec l'accès au niveau supérieur", analyse-t-il.
Désormais, Ludwig De Winter va donc franchir une marche supplémentaire en accédant à la deuxième division mondiale en même temps que son équipe. Le huitième du Grand Prix Zottegem 2014 estime que la transition entre les deux niveaux se situe au niveau du nombre de kilomètres. "Nous avons déjà pris part à de nombreuses manches de la Coupe de France les deux dernières saisons. Nous connaissons donc le niveau et le rythme des Classe 1. L'année prochaine, nous aurons certainement la chance de participer à quelques classiques de plus de 200 kilomètres. Ce sera le plus grand changement." D'où une adaptation de sa routine d'entrainement pour cet hiver. "J'ai arrêté moins longtemps par rapport à la saison dernière pour ne pas perdre trop de condition. Pour l'instant, je suis un rythme de travail qui ne m'use pas mentalement et physiquement. On effectuera également des sorties de plus de 200 kilomètres en stage."
UN NOUVEAU CAP A FRANCHIR
Ludwig De Winter a, selon ses dires, "découvert le cyclisme chez Color Code", en 2013. Il y a beaucoup appris en matière de récupération et d'alimentation. Deux ans plus tard, il rejoint la formation Wallonie-Bruxelles, avec de forts souvenirs de sa première course chez les pros. "J'ai pris l'échappée au Samyn. C'était un bon moment", se rémémorre-t-il. Le coureur de 23 ans connait ainsi une progression linéaire dans sa carrière. "Ma progression a été constante durant mes deux dernières saisons. Je suis sorti de la campagne 2016 sur le constat assez réjouissant d'avoir été actif pour mes leaders et de passer un nouveau cap avec l'accès au niveau supérieur", analyse-t-il.
Désormais, Ludwig De Winter va donc franchir une marche supplémentaire en accédant à la deuxième division mondiale en même temps que son équipe. Le huitième du Grand Prix Zottegem 2014 estime que la transition entre les deux niveaux se situe au niveau du nombre de kilomètres. "Nous avons déjà pris part à de nombreuses manches de la Coupe de France les deux dernières saisons. Nous connaissons donc le niveau et le rythme des Classe 1. L'année prochaine, nous aurons certainement la chance de participer à quelques classiques de plus de 200 kilomètres. Ce sera le plus grand changement." D'où une adaptation de sa routine d'entrainement pour cet hiver. "J'ai arrêté moins longtemps par rapport à la saison dernière pour ne pas perdre trop de condition. Pour l'instant, je suis un rythme de travail qui ne m'use pas mentalement et physiquement. On effectuera également des sorties de plus de 200 kilomètres en stage."
LA VIE SANS BAPTISTE PLANCKAERT
L'hiver de Ludwig De Winter sera donc plus intensif pour être prêt dès l'entame de la saison. "Il y a un risque d'en faire trop, c'est vrai. Mais personnellement, je sais que j'ai tendance à rapidement prendre du poids si je m'interromps trop longtemps", précise celui qui veut performer sur les classiques flandriennes. "Ce sont mes courses préférées". L'ancien meilleur grimpeur du Tour de Wallonie (2015) espère également pouvoir s'aligner sur le Het Nieuwsblad et Kuurne-Bruxelles-Kuurne.
Baroudeur dans l'âme, Ludwig De Winter s'est souvent mis au service de Baptiste Planckaert la saison passée mais le coureur wallon désire retrouver son style caractéristique en 2017. "Baptiste Planckaert a connu une campagne 2016 hors du commun. Nous avions articulé notre stratégie autour de lui. C'était logique. Nous roulerons également pour Roy Jans en 2017 mais je pense que ce sera plus ouvert et que j'aurai plus souvent l'opportunité de prendre l'échappée et pourquoi pas de faire des résultats. Cela fait trois ans que je n'ai plus levé les bras et c'est quand même le but de tout coureur cycliste", conclut-il.
L'hiver de Ludwig De Winter sera donc plus intensif pour être prêt dès l'entame de la saison. "Il y a un risque d'en faire trop, c'est vrai. Mais personnellement, je sais que j'ai tendance à rapidement prendre du poids si je m'interromps trop longtemps", précise celui qui veut performer sur les classiques flandriennes. "Ce sont mes courses préférées". L'ancien meilleur grimpeur du Tour de Wallonie (2015) espère également pouvoir s'aligner sur le Het Nieuwsblad et Kuurne-Bruxelles-Kuurne.
Baroudeur dans l'âme, Ludwig De Winter s'est souvent mis au service de Baptiste Planckaert la saison passée mais le coureur wallon désire retrouver son style caractéristique en 2017. "Baptiste Planckaert a connu une campagne 2016 hors du commun. Nous avions articulé notre stratégie autour de lui. C'était logique. Nous roulerons également pour Roy Jans en 2017 mais je pense que ce sera plus ouvert et que j'aurai plus souvent l'opportunité de prendre l'échappée et pourquoi pas de faire des résultats. Cela fait trois ans que je n'ai plus levé les bras et c'est quand même le but de tout coureur cycliste", conclut-il.
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