Trophée des Champions : « Difficile de contrôler »

Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo

Crédit photo Freddy Guérin - DirectVelo

Trophée des Champions an II. La course organisée par Denis Clément fête ses deux ans. Pour la première fois, elle est obligatoire pour les douze meilleures équipes de DN1, les dix de DN2 et le podium de la Coupe de France DN3. Avant le départ de la course disputée mercredi 5 octobre (voir les engagés), l’organisateur présente le plateau et le parcours pour DirectVelo.

« LA COURSE MONTE EN PUISSANCE »

« Nous sommes sur la bonne voie et je suis très satisfait du plateau que nous avons. Tous les clubs de DN1 qualifiés ont répondu présent ainsi que deux clubs invités (Guidon Chalettois et Team Vulco-VC Vaulx-en-Velin). Il n’y aura que trois absents (EC Raismes Petite-Forêt, AC Bisontine et CC Périgueux Dordogne). Les clubs ont vu la saison passée que c’était une bonne organisation, avec par exemple 440 signaleurs sur le parcours. Nous montons en puissance !

DES EQUIPES LIMITEES A CINQ COUREURS

Nous avons dû organiser le Trophée des Champions un mercredi car il y avait la concurrence du Championnat de France sur piste le week-end dernier. Les clubs ont dû s’adapter mais nous reviendrons à une date plus classique la saison prochaine. Ce sera le samedi 30 septembre. C’est aussi pour faciliter la composition des équipes que nous avons décidé de limiter les équipes à cinq coureurs.

UNE TROISIEME HEURE DE COURSE DECISIVE

Pour ce qui est du parcours, nous partirons de Bélâbre dans l’Indre. Le départ devrait être rapide sur des routes assez plates pendant trente kilomètres. Nous entrerons dans la Vienne avec des belles côtes mais à chaque fois il y aura des portions de récupération entre les bosses. La troisième heure de course devrait être décisive avec des routes plus sinueuses et un enchainement de côtes. Je pense qu’il faudra être bien placé à ce moment.

LES LEADERS DEVRONT SE DECOUVRIR ASSEZ TOT

Pour finir nous reviendrons sur Usson-du-Poitou. Les trente derniers kilomètres sont quasiment plats. Le peloton pourra s’organiser et s’il y a du vent, il y aura des possibilités de bordures. Rien ne sera joué dans le final. L’arrivée est en faux-plat montant sur une belle ligne droite après la traversée d’Usson qui sera un peu plus technique. Avec cinq coureurs par équipes, ce sera plus difficile de contrôler que sur les manches de Coupe de France DN1. Je pense que les leaders devront se découvrir assez tôt comme l’avait fait Romain Cardis la saison dernière. »

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