Essor Breton - Et. 2 : Les réactions

Crédit photo Michaël Gilson - DirectVelo

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Kévin Avoine (SCO Dijon-Team Materiel-velo.com) a remporté ce vendredi la deuxième étape de l’Essor Breton (Élite Nationale), courue sur 139,7 kilomètres entre Brest et Plounéventer (Finistère). Il a devancé Jérémy Roma (Paris Cycliste Olympique) dans un sprint à deux.
Ilan Larmet (Dinan Sport Cyling) conserve le maillot blanc de leader (voir classement).

Retrouvez ci-dessous les réactions recueillies par DirectVelo.

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Portrait de Jérémy ROMA

2e de l'étape - notre photo

« On a fait une erreur jeudi sur la première étape, personne de l'équipe n'était dans le groupe qui va au bout. Quand ils sont sortis, on n’a pas forcément relancé la course. Mais on a oublié ce qu'il s’est passé et aujourd’hui, on a décidé de mettre le plus de monde possible à l'avant.

Personne ne voulait rater le bon coup. En plus, Dinan ne contrôlait pas forcément tout ce qui sortait. Du coup, ça relançait très souvent, il y avait beaucoup d'équipes qui voulaient mettre un gars devant. Quand c'est sorti, on était après tous un peu usés avant d'arriver sur le circuit final.

J'étais à l’avant avec deux coéquipiers, Fabio (Do Rego) et Hugo (Roussel). Sur le circuit final, on voulait faire un ou deux tours pour voir comment c'était. Et après l'objectif était d'en mettre un devant pour que les deux autres n'aient plus qu'à gérer derrière. Quand je suis sorti, il n'y a que Kévin (Avoine) qui est rentré. Alors on n'a pas vraiment pu jouer. Et j'avais fait deux tours tout seul, donc quand il est rentré, j'étais cuit... ».

Portrait de Ilan LARMET

Leader du classement général

« Ça roulait très vite en début d’étape. Beaucoup de coureurs ont tenté de sortir. Il y avait des gars dangereux comme Nicolas Breuillard et David Boutville qui sont sortis, c'était donc à nous de ramener. On a réussi à rentrer tout de suite.

Les autres équipes sont venues nous aider. Certaines avaient des cartes pour le sprint alors elles ont roulé. Nous, ça ne nous dérangeait pas qu'il y ait un peu plus d’une minute d’écart. L’AVC Aix-en-Provence a bouché 1 minute dans le dernier tour, et ça m'a permis de quasiment rentrer sur la tête.

Ça n'a pas débranché. Ce n'était pas une journée facile. J'ai vu la semaine dernière au Tour de la Manche comment ça se passait quand on a un maillot de leader. Je sais que je vais être attaqué, alors il faut être vigilant ».

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