Circuit des Plages Vendéennes - Ep. 1 : Les réactions

Crédit photo Pierre Meriau - DirectVelo

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Benjamin Marais (Vendée U) a remporté, ce samedi, la première épreuve du Circuit des Plages Vendéennes (Élite Nationale), disputée au Perrier (Vendée) sur une distance de 144,3 kilomètres. Il a devancé d'un rien Marek Kapela (Morbihan Adris Gwendal Oliveux). Matthieu Courcelles (Paris Cycliste Olympique) complète le podium (voir classement).
Benjamin Marais endosse du même coup la première chasuble jaune de leader du classement général aux points.

Retrouvez ci-dessous les réactions recueillies par DirectVelo.

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Portrait de Marek KAPELA

2e - notre photo -

« Je n'étais pas trop sûr de moi au début, quand l'échappée est partie. Je souffrais pas mal. Après 20, 30, 40 kilomètres d'échappée, je croyais de plus en plus en nos chances car l'écart ne faisait que grandir. De quelques secondes, certes, mais il grandissait. Au dernier tour, ça s'est vraiment resserré, mais on a bien géré pour garder un écart avec le peloton. Quand le Vendée U (Benjamin Marais, NDLR) a lancé, c'était très tôt, surtout avec le vent. Mais il a pris un petit avantage qui a été suffisant sur la ligne, ça se joue à 5-10 centimètres à l'arrivée... J'ai été surpris par son démarrage si tôt, mais je pensais pouvoir gagner quand même. Ça ne l'a pas fait. 2e, ça reste bien mais ce n'est pas la victoire ».

Portrait de Matthieu COURCELLES

3e

« C'était sympa, on a bien tourné. On était trois, on s'est bien entendu. Je pensais qu'on allait se faire rejoindre. On n'était que quatre, et sur un circuit tout plat comme ça, ce n'est pas évident. Je n'étais pas forcément confiant mais c'est passé, finalement. À dix bornes, j'ai commencé à y croire, mais avant il n'y avait pas plus d'une minute, c'était compliqué. Je n'avais aucune idée de qui était mes partenaires, je savais juste qu'ils représentaient des équipes susceptibles de contrôler un peu derrière.

On avait prévu au briefing, c'était pas mal protégé, donc on ne s'attendait pas à grand-chose avec le vent. Le sprint n'est pas trop mon élément, j'ai été obligé de laisser partir. Malheureusement quand c'est une arrivée comme ça au sprint, je ne suis pas assez bon encore. J'étais cuit en plus de ne pas avoir une grande pointe de vitesse, donc c'est à travailler (sourire) ».

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Portrait de Matthieu COURCELLES
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