Tour du Poitou-Charentes - Et. 2 : Les réactions

Crédit photo Julie Desanlis - DirectVelo

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Christophe Laporte (Cofidis) a remporté au sprint, ce mercredi, la deuxième étape du Tour Poitou-Charentes en Nouvelle-Aquitaine (2.1), disputée entre Rochefort-sur-Mer (Charente-Maritime) et Aigre (Charente) sur une distance de 168,1 kilomètres. Le Français a devancé les Italiens Davide Cimolai (Israel Cycling Academy) et Andrea Pasqualon (Wanty-Gobert Cycling Team, voir classements). Christophe Laporte consolide ainsi son maillot blanc de leader.
Retrouvez ci-dessous les autres réactions recueillies par DirectVelo après l'arrivée.

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Portrait de Colin JOYCE

4e de l'étape

« Le final a été très mouvementé, et perturbé par cette chute à environ quatre kilomètres de l’arrivée. Il n’y avait plus grand monde dans ce peloton et j’ai senti qu’il y avait une possibilité. C’est sympa de jouer la victoire d’étape sur une épreuve comme celle-ci. 4e, ce n’est pas un mauvais résultat. Il y a des mecs rapides ici, c’est évident, mais pourquoi pas…

Les victoires d’étapes au sprint ne seront pas forcément notre seul objectif pour les étapes à venir. On va surtout essayer d’aider Brandon (McNulty). Je pense qu’il peut gagner le chrono et donc la course, on l’espère en tout cas. »

Portrait de Ramunas NAVARDAUSKAS

Echappé

« Tous les mecs ont roulé fort dans cette échappée. On a bien géré. Certains appuyaient plus fort au début, d’autres un peu plus tard dans le final. De mon côté, j’ai essayé de gérer mon effort de la façon la plus régulière possible, tout au long de l’étape.

À 80 kilomètres de l’arrivée, on s’est mis à accélérer, à aller chercher plus loin dans nos réserves, en roulant plus vite. Chacun a fait de son mieux, mais ça n’a pas été suffisant. Dans ce genre d’étapes, on sait très bien que le peloton contrôle facilement la situation. En plus, on avait parfois du vent de face, ce n’était vraiment pas facile. On ne va pas dans les échappées pour rien non plus. Il faut y croire. On peut toujours espérer que les équipes de sprinteurs bluffent, les unes avec les autres, ou nous laissent trop de temps. Mais bon, ce n’était pas pour cette fois-ci. »

 

 

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